La récession mondiale, la crise du crédit, l’augmentation des actes terroristes, l’agitation politique et les politiques gouvernementales imprévisibles ont toutes contribué à accroître les risques pour les entreprises qui investissent, fabriquent des biens et font des affaires à l’étranger. Si l’on ajoute à ce cocktail les contraintes en matière de liquidités et de fonds propres pour les institutions financières, le vieil adage « trop grand pour échouer » est vite remplacé par « trop grand pour être sauvé ».