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Célébrer la Journée internationale de la femme

Puiser la force de diriger, motiver et inspirer au travail

À l’occasion de la Journée internationale de la femme, Mercer Marsh Avantages sociaux a échangé avec trois membres de sa haute direction afin d’en savoir plus sur leurs sources d’inspiration, ce qui les motive et comment elles ont réussi à atteindre leurs objectifs. Nous les avons aussi interrogées sur les leçons que les entreprises devraient tirer et les étapes à suivre pour promouvoir les femmes au travail.
Two mature professional women, one black and one white, dressed in shades of blue, smile and display friendship and professionalism

À l’occasion de la Journée internationale de la femme, Mercer Marsh Avantages sociaux a échangé avec trois membres de sa haute direction afin d’en savoir plus sur leurs sources d’inspiration, ce qui les motive et comment elles ont réussi à atteindre leurs objectifs. Nous les avons aussi interrogées sur les leçons que les entreprises devraient tirer et les étapes à suivre pour promouvoir les femmes au travail.

En 2003, Sarah Brown prend le risque de déménager à Londres, à la recherche de l’emploi de ses rêves. Sans poste précis à intégrer, elle décide d’explorer sa passion pour les avantages sociaux en devenant experte-conseil en santé et en bien-être à Mercer.

Cette courageuse décision lui ouvrira la porte de sa future carrière. Aujourd’hui, 19 ans plus tard, elle est responsable de la région du Pacifique pour Mercer Marsh Avantages Sociaux, à la tête de 80 millions de dollars de chiffre d’affaires en Australie et en Nouvelle-Zélande. Elle siège également au sein des équipes de direction de Mercer et de Marsh.

Au sujet de la promotion de l’équité et de l’inclusion en milieu de travail

Sarah explique que, ce qui l’inspire le plus, ce sont les femmes qui l’entourent. Elles parviennent à trouver un équilibre entre leurs responsabilités à la maison et la pression du métier. Ces conflits comptent souvent parmi les principaux défis qui attendent les femmes dans le monde du travail. C’est un domaine fondamental dans lequel les entreprises peuvent mettre en place des politiques et des programmes afin de promouvoir la diversité des sexes, l’équité et l’inclusion.

Au sujet de l’équilibre entre les responsabilités au travail et les responsabilités à la maison

Elle explique : « Je suis vraiment fière des femmes avec qui je travaille. Ces femmes ont des familles et des enfants, et elles parviennent à jongler entre leurs nombreuses responsabilités, tout en obtenant des résultats exceptionnels au travail. Je les admire profondément. J’apprends beaucoup d’elles. Je me sens vraiment privilégiée d’avoir des femmes comme elles dans mon équipe. »

Au sujet du soutien de l’employeur

Comme le rappelle Sarah, la bonne nouvelle est que de nombreuses femmes affirment recevoir un meilleur soutien de leur employeur dans ce domaine. « Selon notre récente étude, Santé à la carte, un peu moins de la moitié des femmes (47 %) évaluent le soutien de leur employeur pendant la pandémie comme bon ou très bon ». Sarah émet toutefois une réserve : même si c’est un pas dans la bonne direction, il est évident qu’il reste du chemin à faire.

Au sujet de la flexibilité du travail

Selon Sarah, la flexibilité du travail est un élément central du casse-tête. D’après les études, près des deux tiers des femmes estiment très important ou extrêmement important de pouvoir bénéficier de modalités de travail flexibles (63 %) et d’absences permises au cours de la journée de travail pour pouvoir se rendre à des rendez-vous liés à leur santé et à leur bien-être (61 %).

Au sujet du changement de la culture au travail afin de renverser les préjugés

Pour Sarah, le fait de bien comprendre les préjugés est un autre aspect clé sur lequel les entreprises devraient se concentrer. Ce serait d’ailleurs son premier conseil aux employeurs qui veulent commencer à faire bouger les lignes, à l’occasion de la Journée internationale de la femme. Cette prise de conscience doit se produire à tous les paliers de l’entreprise et nécessite souvent une refonte de toute la culture, de haut en bas.

Elle dit : « Les entreprises doivent constamment se remettre en question pour éviter les préjugés inconscients qui existent en chacun de nous. Et je crois qu’il est important que les hommes se mettent un minimum à la place de leurs collègues féminines. Chaque entreprise se doit de réfléchir à l’expérience des femmes en milieu de travail et de s’efforcer de la comprendre. »

Au sujet d’être un modèle d’inspiration

En tant que femme à la haute direction de l’entreprise, Sarah reconnaît également qu’elle doit être une source d’éducation et d’inspiration pour les équipes avec qui elle travaille, et qu’elle doit aussi mettre l’égalité à l’ordre du jour. Il faut pour cela qu’elle se mette au défi d’exceller et qu’elle repère les domaines où des améliorations sont possibles. Pour elle, l’exercice a été particulièrement difficile à certains moments, surtout en pleine pandémie dans la ville la plus confinée au monde. Elle conclut : « Comptant parmi les femmes qui ont le plus d’ancienneté au sein de l’entreprise, je pense que c’est ma responsabilité d’être un modèle, non seulement pour les femmes, mais aussi pour les hommes. Cela veut dire que je dois être la meilleure version de moi-même et incarner véritablement les types de cultures et de comportements qui, selon moi, sont importants.

« Trouver la force, chaque jour, de donner le meilleur de moi-même au travail, de motiver une équipe, d’assumer un nouveau poste à responsabilités pendant une période importante de changement et de transition, tout cela depuis ma chambre d’ami, a été difficile. Je devais sans cesse puiser plus profondément en moi, mais j’avais le soutien de mes amis, de ma formidable famille et de mes collègues. »

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